Dans plus de vingt pays, les équipes de VINCI Concessions célèbrent la journée de l’Environnement VINCI
Ce 22 septembre, dans plus d'une vingtaine de pays, les collaborateurs de VINCI Concessions à travers le monde se sont réunis pour la troisième Journée de l’Environnement VINCI. Cette mobilisation démontre à quel point le sujet compte aux yeux de nos équipes. Et donc, forcément, à ceux de nos parties prenantes – en particulier nos clients, usagers et riverains des infrastructures que nous opérons.
Parce que c’est par l’action que nous avancerons, notre Journée de l’Environnement symbolise la dynamique dans laquelle notre groupe s’est inscrit depuis plusieurs années maintenant.
Cette année, dans plus d’une vingtaine de pays, nous avons ainsi partagé, évalué et valorisé des dizaines d’initiatives déployées sur le terrain et venant du terrain. Certaines sont relativement simples, comme la mise en place d’une flotte de vélos pour se déplacer sur nos sites, ou la vente de boisson en vrac pour limiter les déchets plastiques. D’autres sont plus complexes et techniques à mettre en œuvre mais ont d’autant plus d’impact, à l’image de l’optimisation du roulage et du stationnement des avions, ou bien encore de l’éclairage intelligent des autoroutes. Mais chacune des actions entreprises a son importance. Toutes doivent être testées, et déployées si elles contribuent ne serait-ce qu’un peu à réduire notre impact environnemental.
Mises bout à bout, elles changent déjà la donne avec, depuis 2018, des émissions directes de CO2 réduites de près de 30% sur l’ensemble de notre réseau, et une diminution de notre consommation de produits phytosanitaires de 80%. Ces résultats nous placent sur une trajectoire ambitieuse et crédible pour tenir nos objectifs : zéro produit phytosanitaire en 2025 ; zéro déchet en décharge en 2030 ; et zéro émission nette de carbone (scope 1&2) en 2050 et dès 2030 pour nos aéroports dans l’Union européenne (voire dès 2024 pour Toulon-Hyères par exemple).
Pour cela, dans tous nos métiers et dans toutes nos géographies, nos équipes se mobilisent pour tester, optimiser et déployer à grande échelle des solutions concrètes et durables. Amélioration de l’efficacité énergétique, construction de parcs photovoltaïques notamment dans les pays où l’électricité est fortement carbonée, électrification de nos flottes de véhicules, promotion des biocarburants et investissements massifs dans l’hydrogène, ces solutions réduisent non seulement l’impact de notre activité mais aussi de nos parties prenantes et des territoires. Car oui, nous nous mobilisons et nous agissons sur les émissions dites de scope 3. La modulation de nos redevances aéroportuaires en fonction des émissions CO2 des avions est un exemple parmi d’autres.
Car, comme le rappelle régulièrement notre directeur général Nicolas Notebaert : il n’y aura pas de transition écologique si cela doit signifier l’abandon de la mobilité. Celle-ci est en effet le socle essentiel de l’économie des pays avancés – et une condition de développement sine qua non pour les pays émergents et leurs légitimes aspirations à une amélioration de leur niveau de vie. Bien sûr que les déplacements inutiles peuvent et doivent être évités au maximum. Mais ne nous leurrons pas : la prospérité, le développement humain, économique, social et culturel dépendent de la capacité des biens et des personnes à se déplacer, à échanger.
À nous de faire en sorte que cela se fasse non seulement sans entrave, mais surtout d’une manière à réduire plus encore les impacts négatifs pour la planète et sa biodiversité ‑ à laquelle nous appartenons. Afin que personne n’ait plus à choisir entre liberté de mouvement et protection de l’environnement.